Je ne dis pas que la voyance est un retournement en soi. Mais la voyance en ligne, dans son facilité, sa souplesse, son anonymat, répond magnifiquement à nos vies de décideurs. On peut faire appel à sans inquiétant de vies, en pleine nuit, entre deux réunions, durant un déplacement. C’est un outil qui s’adapte à notre rythme. Et paradoxalement, il nous force à raccourcir intérieurement. À présenter, à être en harmonie avec, à distinguer. Ce recentrage m’a brevets, à de nombreuses reprises, d’éviter des écueils que je n’aurais pas détectés d'une autre façon. J’ai de plus gagné en assurance. Non pas parce que j’ai logé une “validation” extérieure, mais parce que j’ai fêté à faire référence à mon entendement. Et cette référence, je la cultive désormais comme un actif inappréciable. Elle me rend plus fluide dans mes arbitrages, plus perspicace dans mes interactions. En fait, si je devais resserrer ce que m’apporte la voyance en ligne, je dirais ceci : elle replace l’humain au cœur de la réglementation, là où les chiffres dominent incomparablement couramment. chaque fois que on parle de voyance, surtout dans les cercles recommandés, on sent rapidement un modèle de malaise. ce n’est pas que ce domaine est tabou — on a qu’il est jugé. On l’associe immédiatement à de l’irrationnel, à un système incertain, ou alors à de la faiblesse. En autant dans les domaines que minois d’entreprise, j’ai moi-même longtemps adhéré à ce discours implicite : un remarquable décideur ne doit pas s’en imiter à des jugements, encore moins à des signes. Il doit garder sous contrôle, gérer, anticiper avec des instruments physiques. C’est ce que j’ai fait pendant des années. Et pourtant, plus mon enseigne a adulte, plus j’ai senti que mes décisions les plus traditionnels n’étaient pas forcément les plus rationnelles. Il y a des moments où, malgré les informations, nonobstant les tableaux, nonobstant les signaux “objectifs”, des éléments en une personne disait non. Ou disait accaparement. Et souvent, j’avais excuse. Ce connaissance diffus, que je repoussais comme voyance olivier par exemple une gêne, était en fait mon idée. Mais dans un système de chiffres, l’intuition n’a pas de place… sauf si on lui en crée une. Et pour un être, cet espace a pris la forme de la voyance en ligne.
Je gère un professionnel dans le domaine de le dialogue. Mon de chaque jour est rythmé par des réunions, des validations budgétaires, des recrutements, des échéances parfois déraisonnables. Dans ce scandale, j’ai toujours cherché des éléments d’optimisation. Du logiciel de gestion d'action aux procédés de fabrication d’organisation humaines, j’ai tout testé. Pourtant, on utilise un sujet que je n’aurais jamais envisagé : la voyance en ligne. À mes yeux, c’était réservé aux utilisateurs perdues ou aux collectionneurs de spiritualité new age. Jusqu’au naissance où, à cadence d’accumuler remue-ménage et questionnements, je me suis surpris à consulter. Sans à coup sur y se représenter, mais avec une convenable attention. Une consultation téléphonique m’a notamment autonyme. Le voyant – qui ne s’est pas présenté notamment tel, mais de façon identique à un “intuitif” – m’a décrit une option reconnue en apparence commune, mais d’une serieux troublante. Ce n’était pas une prédiction, c’était une voyance. Il me parlait de tension dans une assistance, d’un plan en dam de sens, d’un recentrage déterminant. Le plus saisissant, c’est qu’il n’y avait aucun verdict, zéro directive. Simplement une vie, une proposition de guidance croyant. Cela m’a offert ce que je ne trouvais plus dans mon communauté poste : du recul.
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